The SIMPLA Chair
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Continue Reading[vc_row][vc_column][qodef_custom_font font_family="Montserrat" font_size="24" line_height="34" font_weight="700" letter_spacing="-0.4" text_align="left" content_custom_font="Making objects beautiful & sustainable." color="#222222"][vc_empty_space height="20px"][vc_column_text]Lorem ipsum dolor sit amet, consectetuer adipiscing...
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C’est en 1999 que Carole a commencé l’exploration de la méthode Soma. Au-delà de la guérison intérieure, elle y a trouvé la possibilité de développer ce qui fonde son travail actuel : la puissance de l’ancrage, le dépassement des mécanismes de survie, l’accueil de soi et de l’autre, la bonne distance dans l’empathie…
Journaliste dans une précédente vie, elle a développé l’art du questionnement et exploré diverses démarches spirituelles issues de différentes cultures, notamment lors de voyages en Inde.
Passionnée par la psychologie et le fonctionnement du cerveau, elle est devenue en 2018 coach certifiée puis coach parentale et formatrice en intelligence émotionnelle, communication et inclusion du handicap. Elle axe tout son travail sur le désir de vivre et la joie dans les relations.
Benoît suit le parcours initiatique Soma depuis 1999. Il s’efforce de traduire cette recherche intérieure dans divers domaines : la création manuelle, l’ouverture aux autres, le couple, l’éducation…
En parallèle, il s’adonne à l’art de la céramique et à la construction écologique, une façon de se relier au vivant et de mettre en œuvre sa recherche d’exactitude. Une façon aussi d’exprimer dans la matière l’intention de « faire œuvre de soi » propre à Soma.
Ce stage a pour but d’explorer l’horizontale des affects, le rôle donné par la place de chacun, les sensations d’être moins aimé, moins attendu…ou trop, la place compliquée de l’enfant unique et la façon dont ces empreintes affectives se répètent dans le présent, dans le cadre famillial et professionnel.
Cette place nous est attribuée aux moments de notre vie où toute la hiérarchie de ce qui nous entoure s’imprime fortement dans notre vision du monde.
Ces empreintes impactent nos émotions et notre légitimité ensuite toute notre vie.
Le travail de ces deux fois 4 jours vise à identifier et transformer ces croyances en profondeur à l’aide de jeux de rôle, de visualisations, de libération des tensions induites dans le corps.
Luc a commencé son parcours initiatique Soma en 1997. Passionné par les questions de l’humain, il se forme avec Laurène Castelli à la méthode Soma depuis 2008 .
Formé également à la PNL, il est devenu accompagnateur en développement personnel.
En collaboration avec Laurène Castelli et Catherine Maupas, il crée Soma Voyages en 2008 et co-anime à Paris un groupe Soma dont le travail a débuté en 2017.
Masseur-kinésithérapeute depuis 1981, Catherine a orienté sa pratique vers des soins essentiellement manuels, privilégiant le massage et le mouvement tout en ouvrant à une conscience individuelle du corps.
Depuis 1988, la thématique de la périnatalité occupe également une place privilégiée dans son activité.
Elle commence son parcours initiatique Soma en 1992, se forme ensuite à la méthode avec Laurène Castelli et devient en 2000 animatrice de groupes Soma à Paris.
Elle a crée Soma Voyages avec Luc et Laurène et co-anime également de nouveaux groupes Soma depuis Paris.
Ostéopathe D.O., Roger est au Centre Soma l’homme du toucher, du massage et de l’aide au bien-être physique et énergétique. Il permet lors de blocages émotionnels forts de « faire repartir la machine » afin de fluidifier et d’apaiser les effets des grandes marées existentielles qui ne manquent pas de survenir durant les stages.
Québécois d’origine, il a lui-même parcouru l’Amérique du Nord en suivant de nombreux stages de développement personnel qui lui donnent un regard compréhensif et concerné sur les moments de passage que vivent les stagiaires. Il veille également à l’intendance que nécessite la présence des stagiaires dans la maison.
Compagnon de Laurène Castelli depuis plus de 30 ans, il a créé avec elle le Centre Soma d’abord à Paris et depuis 2009 dans cette magnifique maison lotoise.
Accompagnatrice en développement personnel depuis plus de 35 ans. Elle a créé le Centre psychocorporel Soma où elle anime des groupes de recherche sur le potentiel humain depuis 1985.
Née à Paris d’une mère cantatrice et d’un père prix de Rome de musique, elle a baigné dans un univers artistique qui lui a ouvert les portes de la créativité comme outil de ressourcement à travers le souffle, la voix, le corps en mouvement. Après le conservatoire de chant et de théâtre, elle élabore en 1987 ses premiers stages autour de la voix et de l’expression scénique.
En parallèle à un travail analytique, elle recherche dans diverses méthodes de développement personnel et de TCC des outils pour étancher sa soif de compréhension de la dynamique humaine. Elle se passionne aussi bien pour les neurosciences que pour les connaissances indo-asiatiques et amérindiennes. Ces visions plurielles tissent une trame novatrice et offre de véritables outils de décodage du réel et de connaissance de soi.
« Comprendre et transformer les projections qui emprisonnent le couple. »
Ce stage, qui comprend deux sessions, concerne aussi bien les couples souhaitant travailler ensemble, les célibataires qui veulent mieux comprendre les mécanismes de la vie à deux, que les personnes en couple désirant travailler sans leur conjoint. Les stages sur le couple sont donc ouverts à tous, seul ou en couple. Il n’est pas nécessaire d’être actuellement en couple ni d’avoir vécu une expérience de couple pour faire ce stage.
Il s’agit des attentes que chacun place dans le couple et comment celles-ci formatent le conjoint à ne jamais nous satisfaire… Or, s’il ne nous satisfait pas, il ne se sent ni aimé, ni aimable ! En effet, l’enfance conditionne l’individu à vouloir combler l’autre ( le parent ) pour se sentir recevable. C’est la façon dont ce passage de notre existence s’est déroulé qui va signer le contenu de la « facture affective » que nous allons essayer inlassablement de faire payer à tous nos conjoints.
Par groupe de deux ou de trois, nous allons voir comment s’est créé l’attachement aux parents, à la mère en particulier. Qu’avez-vous assimilé, enfant, du lien entre vos parents ? Quelle place avez-vous voulu combler ? Quels mots étaient posés sur vos interrogations ? Puis, nous allons comprendre les reproductions qui se plaquent sur le couple. Quels bénéfices secondaires reçoit paradoxalement chacun à se sentir mal aimé, quelle place garde-t-il ainsi, même dans la souffrance, quelles sont les paroles retenues ?
Le rapport au corps, à la sexualité, dépend de l’acceptation de la place adulte que chacun veut bien prendre auprès de l’autre. Le geste est-il intrusif, fait-il appel à des événements traumatiques non avoués, le territoire est-il clairement formulé, l’un des deux est-il « enfant » du couple?
Enfin, l’arrivée des enfants bouscule les rôles, chacun revisitant ses croyances en vue d’être « le parent parfait » reproduisant à l’identique ou totalement en contre ce qu’il a vécu au sein de sa famille. Il n’y a alors plus de place pour le couple sexué, juste l’obsession d’une famille copié-collé où les vieux comptes se règlent pour tenter de trouver une place…sans passer par le lien, la compréhension de son histoire. Alors, le sentiment d’abandon prédomine.
Exprimer les attentes, tenter l’accueil, se nommer dans sa part désirante et adulte déconditionne le quotidien et ouvre un vrai désir de vie à deux.
Ainsi, par les mots, la reconstitution, le toucher, l’émotion, la gestuelle, ce travail traite du lien, des projections, des échecs passés, des attentes, de la reproduction des rôles parentaux dans le couple, de la construction à deux, de la sexualité, et de la place donnée à chacun par l’arrivée des enfants.
Ces stages souhaitent redonner au couple une dynamique de parole, de créativité et de confiance.
Nous ne réagissons pas tous de la même façon aux sons qui nous traversent.
Depuis le ventre maternel, le monde est auditif, chargé d’émotions et d’histoires véhiculées par ces fréquences omniprésentes. Cris, chuchotements ; musiques, bruits du quotidien, de la ville et de la nature ; sons porteurs de joies et d’ouvertures ; notre prénom murmuré ou hurlé, mais aussi le son des secrets et des douleurs muettes…
Nous entendons bien plus que nous ne le pensons.
Ces sons nous sont-ils agressifs, calmants, créatifs ? Génèrent-ils du mouvement, de l’émotion ? Nous sentons-nous le droit d’en produire à notre tour, de participer aux bruits du monde ?
Notre son est notre identité vibratoire. S’il participe de tout notre corps, de son souffle, de sa résonance au monde, il nous installe dans une fluidité curative. Mais s’il se débat, se cache, refuse de vibrer, exhale sa peur, il peut être toxique émotionnellement.
Ce travail veut aller à la rencontre des sons qui constituent notre histoire afin de les apprivoiser et d’en transformer les effets.
Nous utiliserons pour cela des outils divers, de la visualisation au toucher sur des sons, du jeu de rôle aux constellations familiales, du chant à l’écriture, le sac de l’explorateur auditif est bien rempli.
En France, c’est bien connu, on ne parle pas de ce que l’on gagne. C’est tabou ! Pourtant, dans cette période difficile, l’argent est au cœur du débat : endetté ou épargnant, quel est notre rapport à ce grand jeu du donner-recevoir qui symbolise bien plus qu’il n’y parait. Il fait apparaître notre confiance en nous, notre capacité au lien, nos croyances familiales, et toute notre organisation affective intime qui rejaillit dans notre couple. Se sent-on pillé ? Nos parents nous ont-ils donné autant qu’aux autres dans la fratrie ? Les cadeaux des autres sont-ils suspects ? Comment circule l’argent dans notre couple ? Quel est notre rapport à l’héritage ? Comment compte-t-on ce que l’on dépense pour soi et pour les autres ?
Notre lien à l’argent révèle beaucoup de nos peurs et de nos angoisses.
Or l’argent exprime et concrétise notre échange au monde. Plus il est détourné par les peurs et les croyances, moins nous pouvons exprimer nos potentiels de réalisation de nous-mêmes.
Pour faire circuler plus librement notre argent, nous devons être sortis du stade de la toute puissance de l’enfant qui confond encore l’amour parental avec la réalisation de ses envies immédiates, fusionnelles et affectives.
Ce stage en deux volets de 4 jours utilise des jeux de rôles, la visualisation, les ressentis corporels, la perception de la mémoire cellulaire pour transformer les croyances et les injonctions reçues dans l’enfance autour du donner-recevoir.
texte du nouveau stage